Première visite de ce type depuis le début de la guerre, le déplacement du nouveau chef de la diplomatie israélienne à Kiev, jeudi 16 février, illustre la révision en cours de la doctrine de Tel-Aviv.
Tiré par l’opinion publique et Washington vers la position occidentale, l’État hébreu peine à condamner directement la Russie. Un cinquième de sa population étant russophone, Israël entretient une proximité plus que stratégique avec Moscou.